PANTALONNADE, 2

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(suite du Pantalonade1,)

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Par contre, pour me déshabiller, je ne me trouve aucun rituel de ce genre. Ou je ne parviens pas à situer l’opération. Le haut ? Le bas ? La ceinture, le slip ? Rien d’automatique dans ma mise à poil !

Certains Chinois, mercenaires en Sierra Leone, retroussaient les jambes de leurs pantalons pour gagner en fraicheur là où des Africains se faisaient raser les cheveux pour le même effet. J’en concluais que les uns ressentent la température par les mollets, les autres par le crâne. Probablement (je l’espère), un trait culturel plus qu’ethnique…

Mais moi, Franchouille, d’où est-ce que je me sens accablé de chaleur ? La tête ou les jambes ? Ailleurs ? Où ? Quelle indécision ! Pourquoi ? Parce que provençal ? Caucasien ?

Et cette indécision a-t-elle un obscur retentissement sur l’intimité de mon existence ?

Et vous ?

(à suivre)