A vive voix


Merci de parcourir la vingt-sixième livraison de mon site.
Normalement, il se renouvèle tous les quatre mois. Cette fois-ci, pardon! Cette édition fut largement retardée pour diverses raisons techniques - dont les modifications intervenues sur le blog, resté quotidien, lui. De plus, après des années, comme je ne tiens à publier ici que des œuvres concertées – non des fonds de tiroir ! - la matière commence à s’épuiser .
Voici les rubriques :
- En poésie, j’ouvre le plus secret de mes carnets, celui où je salue les nouveaux-nés chez les proches de mon cœur. A sa façon, ce Cortège de Balthazar balance en naissances cet autre recueil mien, Une Vendange d’innocents (Maison de Poésie, 2009) qui célèbre les défunts de mon entourage. Composé au fil des ans, bien sûr. En voici quelques pages, parmi les plus anciennes…
- En prose, je célèbre l’ancêtre Hubert, venu d’on ne sait quelle misère et Joseph, son fils, enfant gâté. Si différents l’un de l’autre, tous deux ont mené des existences en filigrane. En démêlerez-vous la couleur ?
- Les dessins réunissent quelques mains. Ce motif m’est tellement familier que j’allais l’oublier. De la caresse à la grenade, de l’amour à la colère, nos doigts traduisent, expriment les modulations les plus intimes. Questions d’âme en définitive. Ai-je su les traduire ?
- Le calendrier? Sous le régal des pâtes, douze quatrains débusquent la gastronomie des cœurs.
Et cet accord entre amour et cuisine, mes dessins récents l’explorent aussi sur le thème d’ Eros au potager, titre de mon expo en mars 2014 à Tokyo (Ginza, galerie Kôbô). Avant de les retrouver sur votre écran.
Bonne lecture !


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